de Ique Gazzola / conception : Naura Schneider
Brésil | 2010 | 52’| VOSTF
La loi n°11.340/2006 ou « loi Maria da Penha » est considérée comme l’une des trois lois les plus complètes au monde sur les violences domestiques. A travers de nombreux témoignages de victimes et spécialistes, Silêncio das inocentes nous éclaire sur la spécificité de cette loi et son application au Brésil.
Projection : le 10 octobre, à 20h
A lei n°11.340/2006 ou «lei Maria da Penha» é considerada como uma das três leis mais completas do mundo no que concerne a violencia doméstica. A partir de inúmeros testemunhos de vítimas e especialistas Silêncio das inocentes nos esclarece sobre as especificidades dessa lei e sobre sua aplicação no Brasil.
Projeção :10 de outubro, às 20h
de Susanna Lira
Brésil, 13’, 2011
Après presque 30 ans de la réalisation du documentaire Cabra Marcado Para Morrer d’Eduardo Coutinho, la réalisatrice Susanna Lira fait visite à Elizabeth Teixeira, personnage principal du film, qui parcourt ses mémoires de la lutte pour les droits des paysans.
Projection: dimanche 7 octobre à 16h50, session Côté courts – Session suivie d’une rencontre avec la réalisatrice
de Cláudia Priscila
Brésil, 72’, 2010, documentaire
La maternité en prison et le Centro de Atendimento Hospitalar à Mulher Presa (CAHMP) de São Paulo sont au centre de ce documentaire : derrière les barreaux, les mères allaitent et suivent leur enfant. Après quatre mois, l’enfant est adopté par une autre famille ou par une institution. Le documentaire montre avec délicatesse cette maternité en prison.
Regardez la bande-annonce ici!
de Consuelo Lins
Brésil, 20’, 2010, documentaire
A partir d’une recherche iconographique,Babás mélange des éléments autobiographiques et une réflexion sur le rôle et la présence des « nounous » (babás) dans le quotidien des familles aisées brésiliennes à travers le temps.
Projection: jeudi 4 octobre, à 20h
de Guillaume Kozakiewiez
France, 86’, 2011, documentaire
Naiara, une adolescente de 16 ans, contemple un champ de ruines qui fut un campement rempli d’espoir, et qui a été détruit par le gouvernement. Ce lieu était le symbole d’une lutte pour l’émancipation des paysans sans terre du Brésil. Il fut aussi l’école où Naiara comprit qu’une autre voie était possible, celle de la lutte et de la cause révolutionnaire. Le film accompagne cette jeune militante jusqu’à ses 18 ans…
Projections:
mercredi 3 octobre, à 20h30
samedi 6 octobre, à 16h30