Depuis 1989, Jules Falquet vit et travaille entre la France, le Mexique, le Salvador et d’autres pays d’Amérique latine et des Caraïbes. Ses premières recherches portaient sur la scolarisation des femmes indiennes du Chiapas (DEA), puis sur la participation des femmes au projet révolutionnaire armé au Salvador (qui a fait l’objet de sa thèse). Suivant les évolutions des mouvements sociaux de la région (de femmes et féministes, paysans et indiens), elle travaille aujourd’hui sur les résistances collectives à la mondialisation néolibérale et ses conséquences (nouvelles idéologies de la « gouvernance » et du « développement », transformation des migrations, ré-articulation des rapports sociaux de sexe, classe et « race », instrumentalisation du « genre »).
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